Deuxième moitié.
Le milieu du chapitre VII est un tournant. Car voilà qu’après avoir étudié le comportement du mauvais côté, revient l’autre côté, que l’on croyait perdu à tout jamais, réduit en bouillie sur le champ de bataille. On apprendra plus tard son histoire : il a en réalité été récupéré par une confrérie secrète, rafistolé, et renvoyé au pays.
Le narrateur ne comprend pas tout de suite à qui il a affaire. D’une certaine manière, lorsqu’on est habitué au mal, le moment où le bien surgit paraît suspect. Il y a nécessité d’une période de désaccoutumance avant de pouvoir à nouveau voir le bien, et l’intégrer dans la vie.
Le narrateur est endormi. Une araignée venimeuse essaye de le piquer, mais le vicomte l’en empêche et l’araignée lui pique la main, son unique, la gauche.
Le narrateur se réveille.
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